Il existe trois disques de ce style, où Lucky Peterson oublie la guitare électrique et le blues, se concentrant sur l'orgue Hammond et l'interprétation d'airs de jazz et de soul. En quelque sorte des disques parenthèses dans la carrière de l'homme. La présence de belles femmes sur les pochettes devient un clin d'oeil à la production instrumentale kitsch des années 1960. La pièce que je vous propose provient du répertoire 1969 de Stevie Wonder.
Lucky Peterson, My Chérie Amour, 2009, Music Is The Magic