Rebecca Kilgore rend hommage à la seconde partie de la carrière de Maxine Sullivan, c'est-à-dire qu'on ne croisera pas sur ce disque les folklores écossais et irlandais typiques des débuts de Maxine. Ce n'est pas trop grave, car il y a ici plein de chansons interprétées par d'autres femmes au cours des années 1930-40. Madame Kilgore est égale à elle-même. Ce qui provoque l'étincelle est le trio qui l'accompagne : un pianiste doué, et surtout un clarinettiste dont les interventions charmantes font sourire. C'est un disque léger comme un papillon.
Rebecca Kilgore, Get Out And Get Under The Moon, 2001, Harlem Butterfly
J'avais déjà présenté Maxine Sullivan. Suivez ce lien :
http://mariomusique.vefblog.net/12.html#Maxine_Sullivan__Differente
Commentaires
J'ai toujours aimé la clarinette. Merci.
Bonsoir Mario, j'aime bien ta métaphore "Léger comme un papillon"...le clarinettiste est lui aussi doué !