Ces deux disques m'ont fait sourire. Ils n'ont cependant rien de comique. J'ai surtout pensé au jazz nauséabond et prétentieux de cette époque. avec de l'électricité tapageuse dans tous les coins, et qui doivent avoir comme voisins ces deux vétérans et leur approche anachronique dans ce décor "moderne". Le saxo Davis et le trompettiste Edison, actifs depuis le début de la décennie 1950, ont une vision similaire, faisant appel à deux organistes (pas un synthé, hein!) pas très jeunesses non plus : Wild Bill Davis pour Davis et Bill Doggett pour Edison. Je peux écouter ces produits sans cesse et continuer à penser Pouah en voyant Chick Corea, Stanley Clarke et autres laids de ce moment.
Commentaires
Oui, c'est velouté, n'est-ce pas ? Ces deux-là ont sans doute habité en France, car on les retrouve, en 1979, sur un disque de... Georges Brassens.
Le morceau de Harry est vraiment fait pour moi !!
j'adore ...... merci Mario
Pas de problème !
Je reconnais que je suis allé un peut fort, j'ai donc réécouté avec plus d'attention et je retire mon commentaire excessif....je devais être fatigué ?
Hein ? Cette soupe ? Ces deux géants du jazz ? Pffff...
Pas folichon cette soupe ?