Tant pas son image d'enfant sage que par certains aspects de sa musique, ce jeune trompettiste rappelait alors son ancien employeur, Harry Conick Jr. Sauf que Jeremy est moins prétentieux que Harry. Les orchestrations jazz sont simples, accessibles, s'adressent à un grand public. La plupart des chansons sont des roucoulades. Discrètement, Jeremy Davenport poursuit sa route sous le signe de la qualité.
Jeremy Davenport, What ever happened, 1997, Maybe In A Dream
Commentaires
J'ai regardé les commentaires à son propos sur Amazon, et tout le monde dit qu'il devrait se contenter de jouer de la tompette. Allons donc ! Il chante si mal ?
Jazz romantique et cool comme une feuille qui tourbillonne....