Du 78 tours au disque compact

Plus de 100 années de musique

posté le 17-12-2019 à 02:24:15

Nous aimons Eric Clapton

 

 

MARY STALLINGS : Tears In Heaven (1996)
NEVER TOO LATE : Layla (2011)
KENNY EDMONDS : Wonderful Tonight (2007)
SIMONE KOPMAJER : Change The World (2014)
 

 

 

MARY STALLINGS
: Chose étonnante : cette véritable chanteuse de jazz termine son disque Spectrum par une  intrusion dans la répertoire pop, avec une version très douce de cette chanson que Clapton avait écrite pour son fils décédé. Très délicat et joli.

NEVER TOO LATE : Inspiré de la version que Clap avait présentée sur son CD Unplugged, sauf que ces gens ajoutent la finale au piano qu'on pouvait entendre à l'origine sur le disque 1970 de Derek & The Dominos, ce qu'Eric ne fait pas sur son disque débranché. Extrait du collectif que l'on voit ci-haut.

KENNY EDMONDS : Autre surprise : ce chanteur soul reprend dix chansons de Blancs sur son Play List.

SIMONE KOPMAJER : Un peu de rythme dans mon paysage doux. Extrait de Emotion.

Tags: #2010-2019
 


Commentaires

 

1. jakin  le 19-12-2019 à 17:37:19  (site)

Un bon moment musical sous les hospices d'Eric Clapton...

2. MarioMusique  le 19-12-2019 à 19:41:09  (site)

Il n'y a pas énormément de reprises de Clapton car lui-même, 8 fois sur 10, chante les créations des autres,

 
 
 
posté le 13-12-2019 à 21:27:14

Succès radiophoniques : Rock 1970

L

 

 

LED ZEPPELIN : Immigrant Song
JOHN LENNON : Instant Karma
MOUNTAIN : Mississippi Queen
GUESS WHO : American Woman
FREE : All Right Now
 

 

 

ED ZEPPELIN
: Un groupe peu identifié à l'univers des 45 tours destinés à des passages radio et pourtant, Zep a connu quatre de ces occasions, dont celle-ci et une chanson extraite de leur troisième microsillon, considéré comme leur plus faible.

JOHN LENNON : Je n'ai pas beaucoup  d'admiration pour le travail du producteur Phil Spector, mais il faut avouer que sur cette chanson de Lennon, il y met toute la gomme pour une sonorité riche et percutante.

MOUNTAIN : Groupe de hard-rock de  la légende de Woodstock et leur seule manifestation populaire à la radio A-M.

GUESS WHO : Le groupe canadien le plus populaire de son époque, avec Burton Cummings, chanteur très expressif. Ce qui m'a toujours étonné avec cette chanson est son succès en territoire US, alors que c'est une pièce nettement anti-américaine. "Ne viens plus roder près de ma porte, je ne veux plus voir ta face à jamais" et "Je n'ai pas besoin de ta machine de guerre, je ne veux plus voir tes scènes de ghetto." Très ancré dans la vague de protestation de la fin des années 60. Fichu bon rock !

FREE : Comme dans le cas de Mountain : la seule manifestation grand public de cette formation britannique avec aussi un très bon chanteur en la personne de Paul Rodgers.

Tags: #1970-1979
 


Commentaires

 

1. jakin  le 16-12-2019 à 17:57:16  (site)

Salut Mario, dans les années 70 j'écoutais très rarement la radio, mais je te fais confiance pour cette présentation...

2. MarioMusique  le 17-12-2019 à 00:18:45  (site)

Ce sont tous des succès de 1 à 20, extraites du Billboard, mais on peut aussi les considérer comme des succès radio un peu partout dans le monde.

On entendait aussi ces pièces sur les ondes des F-M rock naissantes.

 
 
 
posté le 12-12-2019 à 05:08:54

Nick, Marie et le chien

 

 

NICK LOWE : Marie Provost (1978)

 

Marie Prevost était une comédienne francophone du Canada (mais pas une Québécoise) qui, à cause de sa grande beauté, a pu faire carrière au cinéma à l'époque du muet. D'abord dans la troupe des 'jolies baigneuses' de Mack Sennett, puis comme jeune vedette très mode à la garçonne pour la toute jeune firme Warner Brothers.

 

Sauf qu'à la fin des années 1920, deux malheurs frappent Marie. Elle perd sa maman, qu'elle chérissait, et Warner ne renouvelle pas son contrat, comme cela se faisait souvent à l'arrivée des films sonores. Ravagée, Marie se met à manger et à boire. Beaucoup.

 

Première solution : elle prend du poids et devient moins jolie pour le cinématographe. Seconde solution : les studios hésitaient à engager une alcoolique. Elle tourne pourtant dans quelques films, dans des petits rôles. Marie, réalisant que son poids l'empêchait de renouer avec la gloire, a alors décidé de maigrir. De quelle façon ? En cessant de manger.

 

En 1937, la police de Los Angeles est alertée par des citoyens, à l'effet qu'il provenait du minable logement de Marie une grande puanteur et que son chien aboyait sans cesse. Stupéfaction des policiers : l'actrise gisait au sol, des bouteilles vides tout autour d'elle, avec son corps en décomposition. Ils ont aussi noté qu'une partie de sa personne était dévorée. Il fallait bien que son petit chien mange, non ? Le médecin appelé par les flics a écrit dans son rapport : "Extrême malnutrition."

 

 

 

En 1978, Nick Lowe, sur son microsillon Jesus Of Cool, consacre une chanson à cette histoire (Prevost est orthographié Provost.) Nick chante : "She was a winner, that became a doggy's dinner" (Elle était une gagnante, devenue le dîner d'un petit chien.)

 

 

 

Tags: #1970-1979
 


Commentaires

 

1. jakin  le 12-12-2019 à 19:19:03  (site)

Triste histoire....

2. MarioMusique  le 12-12-2019 à 19:45:23  (site)

Je pense surtout qu'elle n'était pas très futée...

 
Pop
 
 
posté le 10-12-2019 à 21:37:11

Les personnages de Gilles Vigneault

 

 

Joe Monferrand (1960)
Ah que l'hiver (1968)
Gros Pierre (1973)
Mademoiselle Émilie (1983)

 

Tout au long de sa carrière, monsieur Vigneault a fait honneur à la richesse de la langue française. Il a aussi évoqué le Québec par la voie de ses gens. Pas les dirigeants, les contrôleurs, mais le peuple, avec des sentiments, des couleurs, de la joie et aussi de la tristesse. Une très riche galerie dont voici quatre exemples.

J'ai toujours aimé Ah que l'hiver, à cause de son aspect traditionnel de la femme seule à la maison avec ses enfants, alors que l'époux est parti dans le nord pour travailler comme bûcheron. J'apprécie aussi que ce personnage n'est nommé qu'à la toute fin de la chanson. Surveillez aussi l'émouvante histoire de mademoiselle Émilie.

Tags: #1960-1969
 


Commentaires

 

1. jakin  le 11-12-2019 à 19:06:12  (site)

J'aime bien écouter Vigneault...

2. MarioMusique  le 12-12-2019 à 02:14:41  (site)

Un grand moment de ma vie fut ma rencontre avec Vigneault. Wow!

 
 
 
posté le 09-12-2019 à 23:20:05

Noël et jazz des années 60

 

 

BOBBY TIMMONS : Christmas Song (1964)
LIONEL HAMPTON : Jingle Bells (1964)
JIMMY SMITH : Santa Claus Is Coming To Town (1966)
ELLA FITZGERALD : Sleigh Ride (1960)

 

 

BOBBY TIMMONS
: Un pianiste interprète doucement cette chanson composée par Nat King Cole au cours de la décennie 1940. Titre de son disque : Holiday Soul.

LIONEL HAMPTON : Le vétéran et pionnier du vibraphone se transforme en chanteur pour une version légère de cet air classique. Son disque : You Better Know It, qui n'est pas un disque de Noël.

JIMMY SMITH : Le roi du Hammond alterne des versions jazz avec des versions davantage conservatrices. Belle pochette d'époque pour Christmas Cookin'.

ELLA FITZGERALD : Encore une artiste d'expérience avec une douzaine de versions d'airs connus. Sans surprise, mais avec Ella, c'est un joyeux Nono. Titre : Ella Wishes You A Swingin' Christmas.

Tags: #1960-1969
 


Commentaires

 

1. jakin  le 10-12-2019 à 17:28:18  (site)

Un Jazz de circonstance...c'est festif...pour ne pas avoir les boules.....

2. MarioMusique  le 11-12-2019 à 00:19:17  (site)

Les boules du sapin de Noêl ?

 
 
 
 

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