Joey DeFrancesco semble adorer quand une chanteuse fait appel à ses services pour jeter des larmes de Hammond un peu partout. En toute honnêteté, Joey semble alors meilleur que sur ses propres disques. Peut-être que l'effet du gros instrument devient plus séduisant quand au service d'une voix féminine. Le voici avec Annie Sellick, sur un standard de Gershwin.
Annie Sellick & Joey DeFrancesco, It Ain't Necessarily So, 2010, No Greater Thrill
Pour Joey avec une autre femme, voici :
http://mariomusique.vefblog.net/3.html#Janis_Siegel__Suave_et_nocturne
Commentaires
Je crois que j'ai deux autres collaborations entre Joey et une femme, avec le même type d'approche lente et nocturne. Sur ses disques, l'homme est davantage funky.
Un excellent morceau d'orgue Hammond sur une voix roulante et chaude...passé au lien indiqué j'ai éteint la lumière et proposé une danse à ma compagne...le reste est censuré....