Du 78 tours au disque compact

Plus de 100 années de musique

posté le 26-05-2016 à 19:02:32

Le quotidien

 

Jean-Pierre Ferland : Monsieur Gobeil (1972)
Sylvain Lelièvre : Petit matin (1975)
Beau Dommage : Tous les palmiers (1974)
Gilles Valiquette : Quelle belle journée (1972)

 

 

JEAN-PIERRE FERLAND
: Rencontre amicale entre un travailleur de nuit, revenant de son usine, qui croise un voisin qui se lève pour débuter sa journée de travail. Extrait de : Soleil.

SYLVAIN LELIÈVRE : Observations matinales d'un quartier populo. Sylvain Lelièvre a souvent abordé des chansons du quotidien. Extrait de : Petit Matin.


BEAU DOMMAGE : Tant pis pour les pays du Sud et bravo pour l'été à Montréal. L'adresse 6760 St-Vallier a existé et les gens, amoureux de la chanson, s'y rendaient pour regarder la maison. En 2015, la ruelle derrière l'habitation a été baptisée Beau Dommage. Extrait du premier album, éponyme, du célèbre groupe.

 

GILLES VALIQUETTE : On se rencontre et, en toute simplicité, on se demande des nouvelles. Extrait de : Chansons pour un café.


 

Le 6760 St-Vallier, Montréal, où le musicien Robert Léger, de Beau Dommage, a déjà habité.

 

Le

Tags: #1970-1979
 


Commentaires

 

1. jakin  le 27-05-2016 à 16:25:28  (site)

J'aime bien ces textes et ces chansons qui racontent le quotidien....cela change de ce que l'on entend habituellement....

2. MarioMusique  le 27-05-2016 à 20:34:49  (site)

Moi aussi !

3. sambapati  le 28-05-2016 à 01:21:23  (site)

" Tous les palmiers " est sûrement un classique de la chanson québécoise. Je me souviens vaguement des autres même si je les ai déjà entendu/écouté en quelques occasions. Merci du partage intéressant et bonne journée demain.
musicalementd
J'ai bien aimé la pochette du disque de Lelievre également...

4. MarioMusique  le 28-05-2016 à 16:47:09  (site)

J'aime aussi cette pochette. On voit Lelièvre dans le rétroviseur.

 
 
 
posté le 26-05-2016 à 06:32:00

Lise et Yama Nekh

 

Toubabou (1973)
Ville Émard Blues Band (45 tours) (1973)
Ville Émard Blues Band (En public) (1974)
Lise Vachon (2006)
 

 

En 1973 a lieu, à Québec, la Superfrancofête, réunissant des musiciens de langue française du monde entier. Le percussioniste Michel Séguin réunit un groupe informel sous le nom de Toubabou, avec Lise Cousineau comme chanteuse. Tous ces jeunes gens fraternisent avec des musiciens du Mali et du Sénégal, et ce sont ces derniers qui présentent Yama Nekh à Séguin et Cousineau. Quelques paroles françaises sont écrites sur place et hop ! Joué sur scène en compagnie des Sénégalais. Un disque témoignage, Le blé et le mil, sera commercialisé l'année suivante.

Avant de poursuivre, une petite parenthèse sur Lise Cousineau. C'était une chanteuse bien en vue du public québécois, puisqu'elle avait formé un duo avec son époux Luc, d'abord sous le nom des Alexandrins, puis de Luc et Lise Cousineau. Mais la Lise de 1973 était nettement plus éclatée que la jeune femme de l'époque des Alexandrins.

Je poursuis. Après la Superfrancofête, Toubabou est intégré au collectif du Ville Émard Blues Band et Yama Nekh est enregistré comme face B d'un 45 tours, qui sera un cuisant échec. Cependant, lors de la tournée de l'année suivante, notre chanson est enregistrée en spectacle et présentée sur un microsillon double de 1974. Alors là, l'histoire fut différente. Il était profondément impossible de fréquenter une boîte de nuit ou d'écouter la radio rock F-M sans entendre cette vigoureuse version du chant africain. Ne doutons pas que le disque du Ville Émard Blues Band, plutôt moche, s'est vendu pour la peine à cause de cette chanson.

Fin de l'histoire pour la plupart des mélomanes québécois, car la suite est peu connue. Lise Cousineau a laissé tomber le monde du spectacle en 1980 pour retourner aux études, désireuse de devenir prof de chant. Ce qu'elle fera, d'abord à Montréal, puis à New York. C'est dans cette ville qu'elle enregistre un disque peu connu, Vocalise, en 2006 et sous son nom de célibataire de Lise Vachon, et qu'est-ce qu'on peut y entendre ? Vous l'avez deviné.

 

J'avais déjà présenté Lise Cousineau et Toubabou dans une pièce avec une partie vocale trrrrrrès particulière. Cliquez sur ce lien :

http://mariomusique.vefblog.net/31.html#Toubabou__Vocal_heuuuu

Tags: #1970-1979
 


Commentaires

 

1. sambapati  le 26-05-2016 à 14:02:17  (site)

Plutôt intéressant d'un point de vue historique j'imagine... Merci de ce retour dans le passé des " Cousineau " Je connais davantage Luc dont je me suis procuré le CD(2014) " Le Gars, là " il n'y a pas très longtemps. Bonne fin de journée.
musicalementd
P.S. Petit retour sur le logiciel dont je te parlais hier: Son principal avantage c'est qu'il récupère et regroupe au même endroit tous les MP3 qu'il y a sur ton disque dur... Ensuite tu peux faire des sélections à ton goût... Imagine à peu près n'importe quoi !

2. jakin  le 26-05-2016 à 15:14:18  (site)

Il me semblait avoir reconnu les rythmes des Sénégalais...Wolof et Malinké...que j'ai entendu pendant des mois sur la petite côte du Sénégal entre Dakar et Pointe Sarenne...pendant mon doctorat d' ethnologie..

3. MarioMusique  le 26-05-2016 à 16:13:03  (site)

Luc Cousineau chante encore ?

Jakin, la rencontre Afrique/Rock nord-américain était rare, en 1973, J'aime cependant ce qui a été fait par Ville Émard, avec une partie de basse bondissante. La piste de danse était alors prise d'assaut !

4. sambapati  le 27-05-2016 à 00:07:50  (site)

Ça doit être quand même de plus en plus rare car il souffre d'une grave maladie. Bonne fin de soirée...
musicalementd

5. MarioMusique  le 27-05-2016 à 20:35:55  (site)

Ah oui ? Ces gens-là commencent à prendre de l'âge, tout de même...

 
 
 
posté le 24-05-2016 à 06:16:59

Distribution canadienne : Introduction

 

Beau Marks : Billy Billy Went A Walkin' (1960)
Hou Lops : Mother In Law (1964)
Lucille Starr : French Song (Quand le soleil dit bonjour aux montagnes) (1964)
Poppy Family : Which Way Are You Goin' Billy (1970)

 

 

Dès le début du 20e siècle, aux États-Unis, deux compagnies de disques allaient monopoliser le marché : Columbia, puis Victor (plus tard : RCA-Victor). S'ajoutent Decca, au début des années 1930, puis Capitol, pour les années 1940. Ces entreprises étaient si puissantes qu'elles ont rapidement établi des bureaux au Canada pour distribuer leurs produits. Les plus petites compagnies étaient, pour la plupart, des embranchements de ces quatre géants. Mais les autres ? Il y en avait très peu, sauf après la Seconde Guerre mondiale. Pourquoi ?

 

 

 

Tout simplement parce qu'avant cette date, les stations de radio faisaient peu tourner des disques. Elles le feront progressivement après le conflit, créant ainsi une demande pour davantage de disques et c'est ainsi que plusieurs compagnies nouvelles ont vu le jour, certaines appelées vers un haut destin (Atlantic, par exemple) et d'autres tomberont dans l'oubli après quelques années. Il va de soi que ces nouvelles entreprises ne pouvaient pas ouvrir un bureau au Canada et faire ainsi connaître leurs disques au public via des passages à la radio.

 

 

 

C'est alors qu'entrent en jeu les distributeurs canadiens. Notons que deux d'entre eux, Apex et Sparton, avaient auparavant distribué des 78 tours yankees. Le coup d'envol et la formule sera établi par la maison Quality, de Toronto. Les autres ne feront que l'imiter. Ces entreprises canadiennes signaient des ententes avec les petites firmes américaines, à condition que leurs produits soient commercialisés sur des étiquettes canadiennes. Tous les styles de musique ont eu droit à ces faveurs, sauf peut-être le blues.

 

 

 

Cette pratique ira en diminuant dès le milieu des années 1960, les compagnies américaines préférant voir leur raison sociale sur l'étiquette. Dès les années 1970, on ne voit plus de 45 tours américains avec un détournement d'identification, bien qu'ils étaient toujours distribués par des maisons canadiennes.

 

 

 

Les huits articles suivants relatent brièvement les associations canado-américaines du monde du disque au Canada.

 

 

 

La plupart de ces compagnies de distribution ont un peu touché à la production, afin de faire connaître la musique locale à ses citoyens. Voici quatre cas.

 

 

 

 

 

 

BEAU MARKS : Des Québécois francophones décident de chanter en anglais. Leur popularité sera appréciable au Québec, au Canada anglais et dans le Nord-Est des États-Unis. Je reviendrai un jour sur ces pionniers. Les Beau Marks étaient sur Quality

 

 

HOU-LOPS : Les tentatives anglaises des Hou-Lops ont été des réussites. Ce titre fut populaire au Québec et... en Belgique! Sur étiquette Apex.

 

LUCILLE STARR : De son vrai nom : Lucille Savoie, une franco-manitobaine, puisant, sur son microsillon, des chansons du Québec, comme ce classique de la musique de cow-boy, rabaptisée French Song aux USA (Incapables de dire Quand le soleil dit bonjour aux montagnes!) Un rare cas d'un disque (bilingue) d'abord destiné au marché canadien qui connaît son quart d'heure de gloire chez les Américains, mais seulement sur les palmarès country. Lucille Starr (Notre photo) est un cas très intéressant ! À l'origine, sur étiquette Barry, mais repris par A & M aux USA.

 

POPPY FAMILY : Groupe de Vancouver, avec un frère et une soeur : Susan et Terry Jacks. Sur étiquette London.

 

 

Revenons à Lucille Starr : j'avais déjà présenté la source de l'amour des Québécois pour cette chanson. Cliquez sur le lien suivant :

http://mariomusique.vefblog.net/50.html#Western_quebecois

Tags: #1960-1969
 


Commentaires

 

1. sambapati  le 24-05-2016 à 13:11:03  (site)

De bons souvenirs encore une fois... Merci du partage et je m'en voudrais de ne pas laisser mon petit classement: Dans l'ordre, Hou Lops, Beau Marks, Poppy F. et finalement Lucille. Bonne fin de journée.
musicalementd

2. MarioMusique  le 24-05-2016 à 13:50:48  (site)

Très bien !

3. Nyxie  le 25-05-2016 à 12:11:22  (site)

Il faut beaucoup de temps libre pour écouter tous tes disques !! en ce moment je suis très occupée .. Tournoi Roland Garros oblige ..
Bonne journée Mario (toujours pas reçu ton roman)

4. jakin  le 25-05-2016 à 16:29:53  (site)

Des pièces connues, même en France.....

5. MarioMusique  le 25-05-2016 à 17:50:25  (site)

'Sont pas très longues, les chansons des dernoères semaines... 2 minutes 30 ! Qu'est-ce qu'il chante, Roland Carotte ?

 
Pop
 
 
posté le 23-05-2016 à 07:39:27

Distribution canadienne : Quality

 

 

 

 

Johnny Cash : Ballad Of A Teenage Queen (1958)
Isley Brothers : Twist And Shout (1962)
Crystals : He's A Rebel (1962)
Turtles : Happy Together (1967)

 

C'était impossible de vivre au Canada au cours des années 50-60 sans voir l'étiquette jaune et rouge de Quality. Non seulement cette entreprise de Toronto a commercialisé des milliers de disques, mais elle le faisait aussi avec deux autres de ses compagnies, Reo et Barry, en plus de prendre en main des disques américains gardant leurs raisons sociales, telles Mercury et MGM.

 

 

 

Quality est fondé en 1950 et immédiatement, une entente est signée avec la maison King, de Cincinnati, réputée pour ses artistes de R & B, mais Quality retiendra surtout leurs disques country, entre 1950 et 1955. Au cours de la même pédiode : une collaboration avec Polydor et Phillips, d'Europe, pour quelques disques francophones, comme ceux de Félix Leclerc et de Georges Brassens.

 

 

 

Les collaborations les plus importantes de distribution : Atlantic (1954-1957), Imperial et Dot (lesquelles garderont leurs raisons sociales à partir de 1957), une profusion de disques Sun (Jerry Lee Lewis, Johnny Cash, etc.) tous les succès Chess de Chuck Berry. Les maisons soeurs de Chess, Checker et Argo, étaient aussi considérées, mais je n'ai croisé que deux disques de blues via Quality (Chess était réputé pour ses 45-78 de blues). Swan (Freddy Cannon), Alladin (R & B et doo-wop), Wand (Chuck Jackson), certains disques Philles produits par Phil Spector, puis A & M, future méga compagnie. N'ajoutons pas des dizaines de petites entreprises, dont la dernière fut White Whale, pour les succès des Turtles.

 

 

Comme chez les autres distributeurs, l'idée de lancer au Canada des disques sur une étiquette locale entre dans une période de déclin autour de 1967, si bien que le dernier 45 tours Quality suivant cette façon date de 1970. Quality poursuit la distribution, mais en se servant des noms américains.

 

 

L'étiquette Quality ne servira plus qu'à des productions canadiennes, entre autres les disques des Stampeders. Pour la participation d'artistes canadiens, elle est présente au début (1950-55) et vers la fin des années 1960. Leurs deux beaux succès locaux : les Beau Marks et les premiers disques des jeunes Guess Who. Pour l'aspect francophone : entre 1963 et 1965, une dizaine de disques québécois, avec une étiquette Quality mauve, mais aucun succès radiophonique. Pourtant, au cours des années 1970, Quality lance Celebration pour le marché du Québec et la compagnie rencontre alors deux succès de taille avec les microsillons initiaux d'Harmonium.

 

 

Quality s'occupera de la distribution des produits télévisuels K-Tel, avant de fermer ses portes en 1985. La compagnie va renaître de ses cendres en 1990, mais un seul disque avec le célèbre logo sera commercialisé, du chanteur canadien Dan Hill. Quality seconde façon va de nouveau distribuer des disques de compilations types "Succès de 1992, 1993 etc." Quality fermera définitivement ses portes en 1997. Soulignons que la compagnie a été la première à commercialiser, au Canada, des enregistrements sous format cassette.

 

 

Voici quatre succès parmi des centaines connus au Canada via Quality. 

 

 

 

 

 

JOHNNY CASH : La présence de choeurs masculins et d'une voix féminine donne à ce disque un aspect absent des autres enregistrements de Cash au cours de cette période. J'ai toujours pensé qu'il s'agissait d'une concession, afin d'obtenir un succès radiophonique grand public. Ce qui a fonctionné, même si cette chanson me paraît oubliée dans le répertoire du cow-boy. Notons aussi une autre rareté : la pièce n'a pas été écrite par Johnny Cash, mais par Jack Clement, producteur pour les disques Sun.

 

ISLEY BROTHERS : Eh oui! Avant les Beatles. Mais si vous insistez, même par les Isley Brothers, c'était une reprise.

 

CRYSTALS : Mon disque favori des productions de Phil Spector pour le début de la décennie 60. Darlene Love, expressive, est la chanteuse des Crystals pour les besoins de cette chouette chanson, écrite par le chanteur Gene Pitney.

 

TURTLES : Quality connaît ses derniers succès de distributeur avec les nombreuses réussites de ces Tortues.

Tags: #1960-1969
 


Commentaires

 

1. jakin  le 23-05-2016 à 16:48:43  (site)

Encore 4 pièces d'excellentes qualités qui nous rappelles de bons souvenirs.....

2. MarioMusique  le 24-05-2016 à 00:05:54  (site)

Merci. Il reste 1 article, pour cette série.

3. sambapati  le 24-05-2016 à 12:41:48  (site)

J'avais bien aimé " The Turtles " et je vais les choisir comme premier choix.
Merci du partage.
musicalementd

4. MarioMusique  le 24-05-2016 à 13:50:02  (site)

Bienvenue et toutes ces choses.

 
Pop
 
 
posté le 20-05-2016 à 22:32:43

Distribution canadienne : Reo

 

 

Fats Domino : I'm In Love Again (1956)
Dion : Lonely Teenager (1960)
Chubby Checker : Let's Twist Again (1961)
Shirelles : Soldier Boy (1962)

 

 

 

Reo est la deuxième des trois étiquettes lancées par le distributeur Quality. Pourquoi ? Sans doute qu'il y avait des personnes prêtes à investir dans le domaine de la commercialisation du disque et que Quality n'a pu refuser. Reo a été en activité de 1956 à 1971. Des trois étiquettes, Reo fut celle qui a lancé le moins de productions locales. Un seul disque québécois, le Mer Morte de Jaguars, déjà présent sur Tournesol au Québec. Ajoutons quelques 45 du groupe anglophone MG & The Escorts, de Montréal.

Comme partout ailleurs, Reo a distribué des disques de petites compagnies américaines. Quelques associations d'affaires plus prestigieuses avec Checker (Bo Diddley) Laurie (Dion) Chancellor (Frankie Avalon) Scepter (Shirelles) Vee-Jay (Four Seasons). Une curiosité et sans doute le fruit de hasards : Reo a lancé des disques de compagnies qui, un peu plus tard, allaient être distribuées au Canada sous leurs propres raisons sociales : Imperial, Dot, Kapp, Parkway et Tamla-Motown. Dans ce dernier cas, Reo a raté une belle chance de succès, commercialisant peu des produits de la maison de Détroit entre 1960 et 1964. Tamla-Motown sera récupéré par Phonodisc, qui ne se privera pas pour lancer les disques américains des Supremes, Four Tops, Marvin Gaye, Stevie Wonder et tous les autres.

Voici quatre succès connus par les Canadiens par l'étiquette verte de Reo.

 

FATS DOMINO : D'abord un pianiste de R & B de la Nouvelle-Orléans, Gros Domino, dès 1956, devient un roi des palmarès et un des artistes d'ébène les plus en vue dans son pays.

DION : Le premier disque de Dion suite à son divorce avec les Belmonts. Aussi, le seul succès avec des choeurs féminins. Une chouette chanson pop légère.

CHUBBY CHECKER : La chanson réponse à son Twist de 1960. Souvent, les chansons réponses ne fonctionnaient pas. Voici une exception. Tout le monde en piste!

SHIRELLES : Le groupe vocal féminin le plus populaire de la période pré-Beatles. Ici, les quatre Shirelles deviennent de bonnes petites filles et chantent en harmonie leur grand amour pour un soldat.

Tags: #1960-1969
 


Commentaires

 

1. sambapati  le 22-05-2016 à 00:49:38  (site)

Je choisis Fats, Chubby, Dion et finalement The Shirelles dans l'ordre. J'ai passé du bon temps à réentendre ces succès du passé. Merci du partage et bonne journée demain.
musicalementd

2. MarioMusique  le 22-05-2016 à 03:50:23  (site)

Le roi du classement, Ah ! Ah ! Pour ma part, je les présente en ordre chronologique.

3. jakin  le 23-05-2016 à 16:46:49  (site)

Des classiques des années 60 avec en prime Fats Domino.....

4. MarioMusique  le 24-05-2016 à 00:04:16  (site)

Ah, ce Gros Domino ! Tu savais qu'il parlait français ? Quand il donnait des spectacles à Montréal, au début des années 60, il s'exprimait en français.

 
Pop
 
 
 

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