Du 78 tours au disque compact

Plus de 100 années de musique

posté le 01-12-2017 à 00:03:53

Succès radîophoniques : Rock 1975

Sweet : Ballroom Blitz
ZZ Top : Tush
Johnny Rivers : Rockin' Pneumonia & The Boogie Woogie Flu
 


 
 
posté le 29-11-2017 à 01:13:47

Des chats

Renée Claude : Je suis un chat (1979)
Plume Latraverse : La chatte de daure (1990)
Renaud : Brave Margot (1995)
Julos Beaucarne : Le chat revint (1975)
 


 
 
posté le 27-11-2017 à 21:25:39

D'autres chats

Manhattan Transfer : My Cat Fell In The Well (1984)
 


Pop
 
 
posté le 25-11-2017 à 02:05:20

Magiciennes de l'art vocal

Une collaboration de longue durée, puisqu'on trouve une première mouture de Trio Esperança au début des années 1960, alors formé de deux soeurs et de leur frère. Après un arrêt, le trio s'est reformé, avec des soeurs, dont une seule faisait partie du groupe d'origine. Depuis toujours : la recherche de qualité dans la prouesse de chanter sans instruments. Ces femmes sont de véritables magiciennes dans cet art! Bien sûr, elles chantent en portuguais, langue de leur Brésil natal, mais aussi en français et parfois en anglais. Je crois que vous n'aurez pas de mal à reconnaître la pièce que je vous offre.

Trio Esperança, Brasil, 1993, A Capela Do Brasil

 


 
 
posté le 23-11-2017 à 19:34:36

L'héritage de Charles

Ceci est le dernier disque enregistré par Charles Brown, quelques mois avant son décès (Il y aura un posthume un peu plus tard). Ce pianiste et chanteur est le type même de l'artiste qui a passé sa vie à enregistrer le même genre de chansons : du blues teinté de jazz, puis du jazz avec des couleurs blues. On ne peut lui en vouloir, car c'était tant et tant très bien. Charles Brown fut actif du milieu de la décennie 1940 jusqu'à ce dernier effort.

Charles Brown, New Orleans Blues, 1998, So Goes Love.

 


 
 
posté le 22-11-2017 à 07:00:58

Noël avec les Canadiennes

Diana Panton : Kissin' By The Mistletoe
Emilie-Claire Barlow : As-tu vu le père Noel
Barbra Lica : Christmas On The Beach
Diana Panton : Douce Nuit / Silent Night
 


Pop
 
 
posté le 20-11-2017 à 19:03:18

Succès radiophoniques : Francophone 1998

Jean Leloup : Sang d'encre
Nancy Dumais : Parler aux anges
Michel Rivard : Maudit bonheur
Francine Raymond : Apprivoise
Noir Silence : Le vent a tourné
 


 
 
posté le 18-11-2017 à 00:11:11

Retour aux sources

Le saxophoniste Hank Crawford et l'organiste Jimmy McGriff étaient des musiciens de jazz ayant débuté leur carrière à la même époque : les années 1960. Les compères présentaient alors un jazz largement teinté de Rhythm & Blues et qu'on appelait Jazz Soul. Des années plus tard, les deux se réunissent pour ce disque et présentent une mise à jour de leur approche initiale, aidés par des musiciens réputés : Cornell à la guitare et Purdie à la batterie. L'ensemble est chaleureux, très simple, plein de pièces bondissantes aux rythmes accrocheurs. Les deux musiciens sont depuis décédés. En ce qui concerne cette pochette amusante, le duo est présent dans la foule. Cherchez-les vers le centre, sous le titre, et Crawford est armé de son saxo.

 


 
 
posté le 16-11-2017 à 21:52:07

Le vétéran s'exprime toujours

Le vétéran Kim Simmonds maintient un groupe du nom de Savoy Brown, sans doute parce que c'est plus vendeur que son propre nom. Le guitariste a réduit la formation à un trio et sans vouloir faire de procès, le bassiste et le batteur pourraient être les premiers venus, tant ils sont au strict service de la guitare. Bref, c'est du Kim Simmonds solo sous le nom de Savoy Brown. De plus, Simmonds s'octroie le rôle de chanteur. La pochette tape à l'oeil sert à intéresser des plus jeunes métallurgistes, même s'ils risquent d'être déçus par le contenu. Il y a trois rocks, le blues d'usage et le reste est relax, dans une veine faisant penser à Eric Clapton. J'ai choisi la dernière pièce du disque, un instrumental flottant du plus bel effet, prouvant que Kim Simmonds est toujours un très bon guitariste.

Savoy Brown, Close To Midnight, 2017, Witchy Feelin'

 


Pop
 
 
posté le 15-11-2017 à 23:39:56

William Bell : Survivant

William Bell est un des rares survivants de l'aventure Stax des années 1960. Curieux destin que de le revoir sur la même étiquette, remise en selle à la fin des années 1990. Curieux aussi parce que jadis, l'homme était le mal-aimé de la compagnie : tous les autres obtenaient des succès radiophoniques, sauf lui. À ce moment, il était un bon chanteur, et aujourd'hui septuagénaire, il chante encore avec conviction. Son dernier effort est excellent d'un bout à l'autre et est certes dans la veine de la tradition soul.

William Bell, Three Of Me, 2016, This Is Where I Live

 


 
 
posté le 13-11-2017 à 23:21:37

Une voix incroyable : Mary Ann Redmond

Mary Ann Redmond : Many Rivers To Cross (2002)
Mary Ann Redmond : You Send Me (2002)
 


 
 
posté le 11-11-2017 à 23:44:06

Duo blues

Omar Dykes est un roi du rock-blues texan, actif depuis le début des années 1980. L'homme a beaucoup enregistré. Trop, sans doute, si bien qu'il y a eu des CD un peu faibles. Celui-ci est un de ses meilleurs, axé essentiellement sur le blues. Omar compte sur des invités de marque : les vétérans Lazy Lester (Guitare) et James Cotton (Harmonica) l'ami Jimmie Vaughan et l'incontournable Lou Ann Barton. Omar chante deux blues avec cette dernière. Les duos blues n'étant pas monnaie courante, en voici un pour votre plaisir.

Omar Kent Dykes & Lou Ann Barton, Close Together, 2009, Big Town Playboy

 


 
 
posté le 11-11-2017 à 00:09:00

Le retour du gars

Luc Cousineau a été sans cesse présent de 1967 à 1987. D'abord en équipe avec sa compagne Lise, et quand celle-ci s'est lancée vers un horizon plus éclaté, Luc a fait le contraire en interprétant des chansons très faciles, destinées à la radio. Il a aussi été producteur, patron de sa propre compagnie de disques et a écrit pour de la publicité télévisuelle, dont une où il chantait. Comme les gens reconnaissaient sa voix, on l'avait identifié à un bouillon de boeuf. Puis soudain : plus rien, emporté par la crise du disque des années 1980. Des années plus tard : ce disque de retour.

Sambapati l'avait présenté sur son blogue et j'avoue m'être alors montré cynique, du moins jusqu'à ce que j'écoute la chanson. Hé, c'était bien! Alors, je me suis procuré le produit. Un Luc Cousineau vieillissant, avec la voix moins ferme, presque murmurée, chantant des textes adroits et personnels, dont cette pièce sur le temps qui passe. C'est très agréable, mais... ça n'a pas fonctionné auprès du public. J'aime beaucoup le titre de ce CD, car il me fait penser à une conversation comme celle-ci :

 


 
 
posté le 09-11-2017 à 21:15:34

Jazz et Japonaises

Naoko Terai : Hit And Away (2003)
Chihira Yamanaka : Maple Leaf Rag (2015)
Marica Hiraga : Route 66 (2011)
Kaori Kobayashi : Azuchi Momoyama (2014)
 


 
 
posté le 08-11-2017 à 23:50:49

Joan aime Bob

Joan Osborne : Tangled Up In Blue (2017)
Bob Dylan : Tangled Up In Blue (1974)
 


 
 
posté le 07-11-2017 à 21:12:22

Un monde rock : Zoe & Blue Commotion

La différence entre le rock d'hier et celui d'aujourd'hui est que jadis, personne ne formait un groupe la cinquantaine dépassée. Zoe et les Blue Commotion ont certes oeuvré marginalement, chacun de leur côté, au cours des 70-80, et ce bagage est devenu une culture qu'ils intègrent fidèlement à leur nouvelle aventure. De bonnes mélodies, une talentueuse chanteuse, des guitares qui mordent, la basse et la batterie qui nous transportent, un peu d'orgue dans les coins, sans oublier le blues et voilà un groupe parfait! Vous noterez que sur la pochette, Zoe porte fièrement un T-Shirt des Stranglers.

Zoe Schwarz & Blue Commotion, Hold On, 2017, This Is The Life I Choose

 


 
 
posté le 06-11-2017 à 18:36:01

Lucky et le blues

Il n'y a rien de pire qu'un artiste de blues qui ne joue pas de blues. Bien sûr, il y a la liberté artistique et plus d'un musicien du style a aussi abordé du funk, de la soul, du jazz, sauf que Lucky Peterson ne le fait pas de façon intéressante. Ce qu'on aime avant tout de lui, c'est le blues. La note écrite sur la pochette semble témoigner de ce fait et nous assure que sur ce disque, Lucky joue du vrai blues nocturne, aux guitares électriques et acoustiques. Et c'est très bien!

Lucky Peterson, Feeling They Call The Blues, 2016, Long Nights

 


 
 
posté le 04-11-2017 à 19:22:31

Blues informatique

Le début de la chanson est un thème traditionnel du blues : le gars revient du travail où tout s'est mal déroulé, d'autant plus que son patron ne cessait de lui adresser des reproches. À ce point, le chanteur de blues doit poursuivre avec une solution à sa frustration : boire! Pas chez Toby Walker. Sa solution typique de notre époque? Mettre quelque chose de stupide sur You Tube. Il poursuit avec d'autres raisons pour poser ce geste, comme le bulletin d'information démoralisant. Très amusant!

Toby Walker, Put Something Stupid On The Tube, 2013, What You See Is What You Get

 


 
 
posté le 03-11-2017 à 06:17:04

Il aime les Beatles

Voici le premier des trois disques que ce guitariste consacre au répertoire des Biteules. Il les aime, en somme! Pas que cet homme soit un mauvais musicien, mais son approche est un peu pépère, surtout sur les pièces lentes. Avec les rapides, c'est mieux. Ce qui ne veut pas dire que c'est un disque médiocre. Agréable, soit, mais sans surprise. Les chansons choisies, tant sur celui-ci que sur les deux autres, furent des succès pour le quatuor. La version d'origine date de 1965.

 


 
 
posté le 01-11-2017 à 01:06:55

La présence de Katie

J'ai un peu de retard avec la présence de mes Katie... Je ne devrais pas! Alors, j'ai trouvé ce modèle 2013 et ce n'est pas son meilleur. Il faut cependant comprendre une chose : il n'existe pas de mauvais disque de Katie Melua. Il y a toujours des chansons qui bercent les sens de façon irrésistible. Elle a certes une belle voix, mais davantage : sa voix est une présence.

Katie Melua, Never Felt Less Like Dancing, 2013, Ketevan

 


Pop