Garland Jeffreys, Spanish Town, 1977, Ghost Writer
Ce n'est un secret pour personne : un spectacle de jazz est en partie constitué d'improvisations. C'est le cas de cet ensemble de deux disques (mais commercialisés séparément) du vibraphoniste suédois Lars Erstrand. Le vétéran était accompagné par Frank Vignola à la guitare et par Ken Peplowski au saxophone. Cependant, un compatriote, Kjell Ohman, semble voler la vedette à tout le monde avec des interventions inspirées face à son gros Hammond B3. La plupart des pièces durent plus de dix minutes, mais j'ai trouvé un classique plus court, où notre organiste s'en donne à coeur joie. D'ailleurs, Erstrand et Peplowski étaient en pause café !
Fiona Boyes, Lay Down With Dogs, 2016, Professin' The Blues
Buddy Guy, Nine Below Zero, 2018, The Blues Is Alive And Well
Ce sont ces chansons familières que le vétéran reprend, mais sans chercher à imiter ce qui a été fait autrefois. La plupart des versions sont douces et mon invité a certes une voix chaleureuse.
Il s'agit de la 2000e pièce musicale que je présente sur ce blogue. Ceci vous donne le droit d'écouter celle en dessous de cet article et mème prendre un risque de visiter d'autres pages.
Bravo pour cette pochette significative, rendue amusante par un chien qui connaït l'bon truc. À la bonne vôtre !
La photo de la pochette m'a intrigué. Quel âge peut-il avoir? 71 ans. Il a l'air beaucoup plus vieux...
Sarah Lancman, Pour les amants éternels, 2018, À Contretemps